Titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval, Pascale LeBlanc-Lavigne a développé l’idée d’un « potentiel de violence » pour réfléchir aux systèmes imprévisibles qu’elle construit. Les réalisations de l’artiste engendrent des formes aux échos poétiques, qui oscillent entre création et destruction par leur nature instable et éphémère. Son travail a été soutenu par plusieurs centres d’artistes, dont Avatar, La Bande Vidéo et La Chambre blanche. Les œuvres de Pascale LeBlanc-Lavigne ont été présentées au festival Technomancie en France, au LAB30 en Allemagne, au festival d’art sonore Tsonami au Chili, ainsi que dans plusieurs expositions solos et collectives au Québec, notamment au Mois Multi (2019), au centre VU (2018), au Musée de la civilisation (2017), à la galerie de la Manif d’art (2016) et
à la galerie Art Mûr (2014).